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Monter à cheval l’esprit tranquille

Image: Matthias Hauser/imageBROKER
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Un accident est vite arrivé: un cavalier ou une cavalière provoque involontairement un accident et le cheval emprunté se blesse. Si rien ne peut soulager le sentiment de culpabilité qui assaille la personne impliquée, une solution existe pour les frais élevés du vétérinaire.

Gracieux et puissants, les chevaux sont aussi réputés pour être peureux et parfois incontrôlables. Lorsque c’est l’accident et que la monture se blesse, la facture peut vite être salée. Pour se prémunir contre des déconvenues de ce type, les propriétaires de chevaux peuvent conclure une assurance-accidents pour leur monture auprès d’une compagnie spécialisée.

Accident avec un cheval appartenant à un tiers

Nombre de cavaliers et de cavalières ne possèdent pas de cheval. Leur monture appartient à un tiers. Lorsque survient un accident avec un cheval emprunté, sans faute de la part du cavalier ou de la cavalière, c’est l’assurance-accidents du cheval qui intervient. En l’absence de cette couverture, le dommage devra être pris en charge par les propriétaires. Avant de partir en promenade, il est donc conseillé de se renseigner sur la couverture d’assurance prévue pour l’animal. En effet, après un accident, l’embarras est d’autant plus grand lorsque l’on s’aperçoit que l’animal est mal assuré.

La situation est différente lorsque l’accident est dû à une erreur de la personne qui monte le cheval. On considère alors que cette dernière est responsable du dommage et qu’elle doit en supporter les conséquences financières. C’est là qu’intervient la couverture «Locataire de chevaux» complémentaire à l’assurance de la responsabilité civile. 

Couverture complémentaire «Locataire de chevaux»

Avec la couverture complémentaire «Locataire de chevaux», AXA prend en charge les coûts de dommages causés par accident à des chevaux empruntés, loués, détenus temporairement ou montés sur ordre, à condition que le cavalier ou la cavalière ait commis une faute et que sa responsabilité soit établie. Les frais assurés sont ceux engagés pour les traitements vétérinaires et ceux correspondant à la valeur de remplacement en cas de décès du cheval ou à son éventuelle dépréciation en cas de blessure. Les frais pour dommages causés au harnachement sont eux aussi pris en charge par AXA. En l’absence de faute de sa part, AXA défend le preneur ou la preneuse d’assurance contre les prétentions injustifiées. Cette couverture complémentaire valable pour tous les membres de la famille peut être conclue à condition qu’une assurance de responsabilité civile privée ait été souscrite auprès d’AXA.

«Il ressort de nos données que seule une infime partie de notre clientèle a souscrit ce type de couverture complémentaire. De nombreux cavaliers et cavalières ne semblent pas être conscients qu’ils ne sont pas suffisamment assurés au cas où un cheval subit un dommage en raison d’un accident causé par eux», explique Daniel Meier, responsable Gestion des produits Habitat et Voyages d’AXA.

D’autres dommages, par exemple lorsqu’un cheval endommage une clôture ou blesse un passant en ruant, sont pris en charge par l’assurance de responsabilité civile privée classique. Si le cavalier ou la cavalière se blesse et a besoin de soins médicaux, ceux-ci sont couverts par la caisse-maladie ou l’assurance-accidents. Le Bureau de prévention des accidents (bpa) recense environ 7500 accidents de ce type par an en Suisse. «L’équitation reste un sport très apprécié, notamment des adolescents. Autant être bien assuré pour Ie pratiquer l’esprit serein», conseille Claudio Schäfli.

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